Lors de la synchronisation des données du système d'information démographique de l'administration municipale avec les bases de données du Centre national des registres des entreprises, les données personnelles d'un demandeur de placement d'un enfant adopté ont été remplacées, en raison d'une erreur, par les données personnelles de les parents biologiques, qui ont ensuite été accessibles dans le registre de la population de la République de Lituanie. Cela constituait une violation des principes d'intégrité et de confidentialité du traitement des données personnelles (art. 5 (1) f) du RGPD) et une violation du principe d'exactitude.